230 jours autour du monde : un voyage vraiment fabuleux

Quand nous nous sommes envolés pour Buenos Aires, le 27 septembre 2017, nous ne savions pas trop si ce type de périple nous conviendrait… Habitués à l’espace – très relatif ! – de notre camping-car, jamais nous n’avions voyagé si longtemps, si loin, avec pour seuls bagages un sac à roulettes et un petit sac à dos. Finalement, nous avons vite trouvé nos marques, et dès le pied posé sur le sol argentin, nous avons compris que ce type d’aventure nous satisferait à 100% !  Dans sa globalité, notre aventure autour du monde s’est déroulée sans anicroche ni déception, avec d’intenses moments d’émotions quasi-quotidiennes ! Et même si certains passages ont été moins agréables à vivre, comme par exemple les nombreuses heures de bus (pour Gérard) ou les vols intercontinentaux (pour moi), maintenant que nous sommes rentrés en France, nous n’avons qu’une envie : repartir à la découverte de nouveaux horizons !


La clé d’un voyage réussi : une bonne préparation en amont

Même si cette phase préliminaire du voyage peut sembler longue et fastidieuse, se plonger dans les guides et sur le web avant le départ est à la fois agréable et indispensable.

Établir « notre » parcours idéal…

On a commencé par définir les grandes lignes de notre voyage. Logique, me direz-vous… Ayant deux « impératifs » familiaux, l’un au Chili et l’autre en Nouvelle-Zélande, on a donc « tourné » autour de ces destinations. Et comme on avait tous les deux très envie de découvrir l’Extrême-Orient, on s’est vite rendu à l’évidence : notre voyage serait un beau petit tour du globe ! Une fois les pays à visiter choisis – en l’occurrence Argentine, Chili, Bolivie, Nouvelle-Zélande, Australie, Japon et Corée du Sud – restait à peaufiner le trajet, étape par étape.

On a d’abord listé tous les points d’intérêts et sites à visiter de chaque arrêt, histoire d’avoir une idée du nombre de jours à prévoir sur place. Aucune difficulté pour cela : entre le guide Vert Michelin et le Lonely Planet, Tripadvisor et les blogs de voyageurs, on a glané suffisamment d’infos pour établir un programme quotidien. Le hic, c’est que j’ai carrément omis de prévoir des jours « off »… Du coup, chaque grosse pluie était une excuse pour s’octroyer une journée de repos ! Un conseil donc : prévoir des temps « morts » pour récupérer physiquement et mentalement, surtout dans le cadre d’un voyage au long cours.

Réserver… ou pas ?

On a ensuite réservé nos hébergements via Booking.com ou Airbnb. Oui, et même si ça peut sembler fou, on a booké pratiquement toutes nos nuits avant le départ ! Mais comme on n’est jamais à l’abri d’un aléa ou d’une envie de changement, j’ai fait en sorte que tous les logements soient annulables ou modifiables. Sur ce plan, on a eu de la chance, car on n’a jamais eu de mauvaises surprises ou de réservations perdues / oubliées par les hôteliers… D’un point de vue financier, ça a été tout bonus pour nous, car dénicher au dernier moment un studio à Kyoto pendant la période des cerisiers en fleurs, à 25€ la nuit, autant dire que cela aurait été mission impossible !

On a procédé de même pour les transports longue distance, terrestres ou maritimes : tous ont au préalable été repérés – voire réservés dans certains cas. Et quand je ne « sentais » pas une option, je prévoyais un plan B… Là encore, on a été satisfaits de ces recherches préalables, surtout quand le ferry qui devait nous faire remonter une partie du Chili a été annulé le jour du départ ! Savoir qu’un bus assurait le même parcours a évité que l’on se rue sur le premier avion venu ou que l’on perde une journée à chercher une alternative.

Côté préparation, j’ai même poussé le vice (!) jusqu’à noter les numéros de bus locaux ou lignes de métro afin de faciliter nos déplacements en ville. Cela peut paraître un peu excessif, mais finalement, ces recherches nous ont rendu bien service car on n’a ainsi jamais tourné en rond pour trouver notre direction.

On l’aura compris, préparer soigneusement son voyage permet non seulement de bien visualiser son budget et d’obtenir de meilleurs tarifs, notamment sur les transports et les hébergements, mais également d’optimiser un temps précieux et d’éviter toutes déconvenues.

Routard en mode roots vs « papy et mamie » partent en voyage

Bien sûr, j’entends d’ici les esprits chagrins nous reprocher notre trop grande préparation ou notre manque d’improvisation quotidienne. Comme si partir le nez au vent conférait au voyage ce zeste d’adrénaline indispensable à une pleine satisfaction… Personnellement, on ne voit pas trop où est l’aventure quand il s’agit de dégoter une chambre d’hôtel à bas prix, dans un lieu inconnu, à 10h du soir, en tirant nos 20kg de bagages. A vrai dire, cela relève même de la grosse galère à éviter absolument !

Alors, même si on n’a jamais navigué à l’impro, la liberté de choisir nos étapes et leur durée nous a vraiment enchantés : un tel voyage n’aurait pas été possible dans le cadre d’un voyage organisé. Finalement, par nos hébergements bon marché, nos déplacements en transports locaux et notre « petit » sac à roulettes, on s’est plus rapprochés de voyageurs en mode roots que de touristes utilisant les services d’un voyagiste. Un mode roots, bien entendu, amélioré et adapté à notre condition de jeunes seniors dynamiques !!!


Quoi ? Juste sept pays visités ?!?

Oui ! Et encore, nous ne sommes restés qu’une semaine en Bolivie et en Australie, ces deux destinations s’inscrivant dans l’optique d’un futur voyage. C’est donc délibérément que nous avons passé 33 semaines dans « seulement » cinq pays. En effet, au survol superficiel de multiples étapes, nous avons préféré nous imprégner de chaque ville, chaque village visité en y demeurant plusieurs jours. Pas une seconde nous n’avons regretté ces choix : prendre le temps d’observer le quotidien des habitants nous a permis d’entrevoir des quartiers où le visiteur pressé ne met jamais les pieds.

Au plus près des habitudes locales…

On a aussi beaucoup apprécié que nos logements se situent en dehors des grandes zones touristiques : là encore, les contacts avec la population en ont été facilités, et la plongée culturelle a été totale. Et puis, cela nous a donné l’occasion d’emprunter les transports en commun pour rejoindre les centres-villes, un moyen idéal pour prendre le pouls d’un pays !

Pendant tous ces mois, nous avons vraiment eu l’impression d’être aux antipodes des voyages classiques où tout est prévu pour que le touriste, transporté d’un musée à un hôtel international, se fatigue le moins possible. En ce qui nous concerne, il nous a fallu nous débrouiller par nous-même au quotidien pour nous déplacer, manger ou visiter sites et musées. Et c’est une petite – grosse ! – fierté que d’y être parvenu sans trop de soucis. Parce que franchement, faire ses courses dans un supermarché japonais où aucun aliment ne nous est vraiment familier, ou encore poster un colis de Corée avec juste l’aide d’employés qui ne parlent pas un mot d’anglais, ce n’était pas gagné d’avance !.. Mais si on l’a fait, pourquoi d’autres que nous n’oseraient pas repousser leur zone de confort et tenter l’aventure ?

Le challenge : éviter les liaisons aériennes et privilégier les transports lents et locaux !

En adéquation avec notre vision du voyage lent, nous n’avons utilisé les liaisons aériennes que pour les déplacements intercontinentaux. Plusieurs raisons à ce choix : d’abord, mon profond dégoût des engins volants a été prépondérant. Ensuite, d’un point de vue écolo, l’avion est le moyen de transport le plus polluant, avec une empreinte carbone par passager quatre fois plus élevée qu’un trajet en bus et vingt fois plus qu’un parcours en train. Enfin, côté paysages, la vue, à 10.000m d’altitude, est souvent limitée, surtout quand on n’est pas à côté d’un hublot !

On a donc effectué nos déplacements en bus, train ou ferry. Dans l’ensemble, tout s’est bien passé, même si l’état des routes en Argentine nous a parfois bien secoués. On ne va pas se voiler la face : passer 31h d’affilées dans un bus semi-cama – c’est-à-dire pas luxueux ! – n’est pas notre meilleur souvenir ! Mais ce trajet plutôt pénible nous a fait découvrir des paysages incroyables. Alors, même si on est arrivés à bon port un peu cassés de partout, on ne regrette pas cette option.

Pour info, au cours de ce voyage, nous avons passé 241h dans 27 bus différents, 41h dans 6 trains, et 31h dans 4 ferries. Pas mal !


Au quotidien…

Avant même d’aborder les questions de santé ou de confort, c’est principalement notre très bonne entente qui nous a permis de nous supporter 24h/24 ! Eh oui, même si on était déjà habitués à vivre dans un petit espace – notre camping-car ne doit pas excéder les 15m2 ! –  pendant ce voyage, nous avons vraiment vécu « collé-serré » durant 5520 heures, et ce sans la moindre difficulté… Impressionnant !

Grande forme indispensable !

Il va de soi que, pour entreprendre un tel périple, une certaine condition physique s’avère nécessaire. En effet, même quand on n’opte pas pour le sac à dos, tirer / pousser / porter un sac à roulettes demande une certaine énergie, surtout quand on emprunte les transports en commun ou que l’on doit grimper les escaliers des logements !

Ensuite, mieux vaut avoir une bonne résistance à la fatigue : nos journées commençaient souvent vers 7h – le matin, on est plus tranquilles sur les gros sites touristiques – et s’achevaient rarement avant 22h, une fois le blog mis à jour…

Et je ne parle pas des kilomètres parcourus quotidiennement à pied. Pour preuve : affichant 1150km au compteur – sans compter les milliers de marches gravies – nos baskets étaient tellement usées qu’on les a jetées avant notre retour en France !

Pourtant, côté santé, on a bien encaissé ces potentielles difficultés : hormis une grosse grippe qui nous a gâché la découverte de l’île du Sud en Nouvelle-Zélande, deux entorses de la cheville (Sophie) et une lombalgie (Gérard), on n’a même pas entamé notre pharmacie de voyage !

Abandonner toute exigence de confort…

Voyager au long cours implique souvent d’avoir un œil attentif sur son budget. Conséquence : on a systématiquement privilégié les hébergements les moins chers, ma seule requête étant d’avoir une salle de bain privée. Évidemment, je ne cache pas qu’en arrivant dans certains hôtels qui paraissaient pimpants sur le papier, on a parfois eu un « coup de mou » en découvrant la réalité des lieux. Après, quand la nuit est facturée à 20€, mieux vaut ne pas s’attendre à un confort étoilé !

Ainsi, lors de notre première étape à Buenos Aires, j’ai eu un gros mouvement de recul en découvrant notre chambre sans fenêtre et particulièrement sale. Après 16h de vol depuis Paris via Londres, 2h de bus local et 5h de décalage horaire, ça plombe le moral ! Pourtant, après un petit ménage effectué par Gérard – qui, sans aucun doute, est moins attaché au « luxe » que moi ! – il s’est avéré que l’établissement, tenu par un sympathique couple de personnes âgées, était bien plus agréable qu’il ne paraissait. D’ailleurs, si on revient un jour à Buenos Aires, on retournera dormir à l’auberge Sol de Oro !

Finalement, ce qui nous aura le plus gêné, ce sont les futons ou les couchages sur sommiers à ressorts –  sans matelas, c’est plus drôle ! – en Corée et au Japon. Là, on reconnaît que nos articulations occidentales n’ont vraiment pas apprécié l’expérience !

Être capable de manger de tout, sans trop se poser de questions !

Du poulpe cru à la pâte de haricot rouge sucrée, en passant par le ceviche de poissons, la brochette de baleine et les steaks de lama ou de kangourou, on peut dire que l’on aura tout testé ! Dans l’ensemble, on a beaucoup apprécié cette nourriture « exotique » et souvent éloignée de nos papilles européennes. De toute façon, goûter à tout fait aussi partie du voyage. Une exception tout de même : on n’a pas du tout accroché avec le kimchi coréen – un assortiment de légumes fermentés trèèèèès épicés – servi dès le petit-déjeuner… Là, on avoue, on a bloqué !

Rester connectés…

Très important, la connexion internet, et pas seulement pour consulter ses messages sur Facebook ! En effet, que ce soit pour jeter un œil sur Google map lors d’un trajet, rester en contact avec la famille via WhatsApp ou actualiser quasi-quotidiennement notre blogprès de 7000 photos et 160 articles publiés ! – nous avons toujours veillé à disposer d’une connexion internet fiable. En plus du wifi proposé par nos hébergements, nous avons aussi acheté des cartes SIM locales pour notre smartphone. A l’exception du Chili où les téléphones étrangers ne sont plus autorisés à recevoir les cartes SIM chiliennes, partout ailleurs on a eu un réseau 4G de qualité et peu cher. Pratique, voire même indispensable pour la senior 2.0 que je suis !

Fransu go hanasemaska ?

Autant le dire tout de suite, mieux vaut ne pas se contenter de la langue de Molière avant d’entreprendre un tel périple ! Nos cinq premiers mois de voyage ne nous ont pas posé de problème : nous maîtrisons tous les deux l’espagnol et l’anglais. En revanche, la barrière de la langue s’est nettement fait ressentir au Japon et en Corée où peu de personnes parlent anglais. Heureusement, Gérard avait travaillé le japonais avant notre arrivée dans le pays : il savait donc employer les formules de politesse et se faire comprendre sur des demandes simples. Et même si la réponse restait souvent peu compréhensible, les gens se débrouillaient pour nous aider et nous renseigner, d’autant plus que l’on avait fait l’effort de s’adresser à eux dans leur langue. Pour le coréen, on en est resté aux rudiments à cause des difficultés de prononciation…

Les belles rencontres…

Bizarrement, durant ces huit mois autour de la planète, nous n’avons jamais croisé de globe-trotteurs seniors au long cours… Serions-nous une espèce rare ? A priori, oui !

Heureusement, nous avons fait de nombreuses autres rencontres, qu’il s’agisse de voyageurs au « moyen cours », de camping-caristes arpentant les Amériques du nord au sud, de jeunes en tour du monde ou encore de locaux curieux d’en apprendre plus sur notre aventure. Et on est ravis d’être encore en contact avec bon nombre d’entre eux !


Et si c’était à refaire, on changerait quoi ?

Eh bien à vrai dire, pas grand-chose ! Notre programme, quoiqu’assez soutenu (!), nous a parfaitement convenu, et nous savons maintenant que le manque de confort ou la fatigue liée à certains transports ne sont pas des obstacles pour voyager !

En vrac, voici tout de même quelques bricoles que l’on aurait peut-être modifiées (si on avait su avant) :

  • Rester un jour de plus à El Calafate, en Argentine, et faire une rando du côté d’El Chalten…
  • Pousser jusqu’à Ushuaïa : on est vraiment restés sur notre faim en arrêtant notre descente à Punta Arenas !
  • Passer plus de temps en Bolivie : le peu que l’on a vu du pays nous a enchantés !
  • Oublier Mendoza, en Argentine : on n’a pas « accroché », malgré la présence de vignes et la production de bon vin local !
  • Faire la rando de 4 jours dans le parc Abel Tasman, en Nouvelle-Zélande
  • Ne pas rester 9 nuits à Séoul : c’est beaucoup trop long, 4 jours auraient amplement suffi !
  • Rester un jour de plus à Mokpo et à Wando, deux villes de bord de mer en Corée…

Nouveaux projets…

On a tellement apprécié ce voyage qu’il nous semble dommage de s’arrêter en si bon chemin ! Du coup, alors que l’on était encore au Japon, on a commencé à programmer nos futures escapades.

Si tout se passe bien, nous repartirons en septembre 2018 pour huit mois de voyage en Amérique du nord (USA et Canada) et Amérique centrale (Mexique, Guatemala, Nicaragua, Costa Rica, Panama). Et nous poursuivrons en septembre 2019 par un périple ferroviaire en Russie, Chine, et Asie du Sud-Est jusqu’à Singapour ! Comme toujours, nous nous emploierons à utiliser majoritairement les transports locaux, de manière à impacter le moins possible notre empreinte carbone.

Dans notre objectif d’un « tourisme » lent et responsable, l’idéal – à terme – serait de parvenir à éviter les liaisons aériennes. S’il est assez facile de rejoindre l’Asie via le transsibérien, le challenge reste entier pour traverser les océans ! Peut-être nous tournerons-nous alors vers les croisières de repositionnement, un mode de transport encore peu connu des Français… Affaire à suivre !


Tous nos articles « voyage autour du monde » en un seul clic ou presque !

Pour en savoir plus sur chaque pays visité, consultez les articles « Bilan » où sont regroupés non seulement toutes les infos pratiques sur la destination mais également la liste chronologique de tous les articles publiés.


Merci à tous ceux qui nous ont suivis dans ce fabuleux tour du monde ! Rendez-vous dans trois ou quatre semaines pour découvrir le parcours détaillé de notre prochaine balade en Amérique

8 réflexions au sujet de « 230 jours autour du monde : un voyage vraiment fabuleux »

  1. Bonjour. Je lis et relis vos voyages. Nous non plus, nous n’avons pas rencontré beaucoup de séniors durant notre tour du monde !!! Une espèce qui pense que nous n’avons plus l’âge de ces fantaisies.!! Allez je continue. fabiennerolandnotretourdumonde. WordPress. Com

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    1. Merci pour votre message et désolée d’avoir mis autant de temps à y répondre mais nous étions en mer, transatlantique de Rio à Barcelone, donc peu d’internet ! Je profite d’une escale à Malaga pour me connecter. Eh oui, les seniors en tour du monde ne sont pas nombreux ! Mais tant que l’on a la santé, nous continuons… 10 ans que ça dure, et on compte bien encore gratter quelques années ! J’ai bien noté votre site, j’ai hâte de la découvrir, je ferai ça la semaine prochaine quand nous serons rentrés dans notre camping-car (le voyage continue en Europe, mais à plus petite vitesse et avec notre studio à roulettes !)… Bonne soirée !

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  2. Bonjour, je découvre votre blog aujourd’hui grâce à un article du Huffington Post et je suis très contente de rencontrer via le net des tourdumondistes cinquantenaires ! Nous avons nous-même réalisé un voyage autour de la planète pendant presqu’un an (de mai 2014 à fin avril 2015) et nous n’avions pas vu de voyageurs de notre âge…
    En lisant le bilan de votre voyage je n’y lis que des points communs (mis à part le sujet des avions, qui est important toutefois !) avec nous. Par contre nous n’avions réservé que les 2 premières nuits à Quito puis nous nous le faisions au fur et à mesure sur Booking ou Airbnb… Jamais aucun souci non plus…
    Notre tour de 346 jours nous a enchanté et nous y pensons encore tous les jours, 3 ans après le retour ! Nous n’avons qu’un souhait c’est repartir, ce qui sera fait le 2 octobre prochain ! Nous nous envolons pour la Nouvelle Zélande (2 mois) et l’Australie (3 mois), 2 pays que nous avons déjà visité, en partie seulement, lors de notre tour du monde. Nous aimons prendre notre temps et la vie en campervan nous avait tant plu que nous avons acheté un camping car l’an dernier pour nos voyages français et européens…
    Nous sommes très heureux de pouvoir passer du rêve à la réalité avec tous ces voyages, le principal étant d’avoir des projets et d’oser franchir le pas !
    Voilà, si vous voulez en savoir plus sur nous et notre tour du monde vous pouvez lire notre blog topette.net/ et je vais visiter le votre plus en détails.
    Amicalement
    Martine

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    1. Bonjour Martine,
      Tout d’abord merci pour votre mot ! Moi aussi je vais regarder votre blog, c’est toujours intéressant de confronter les expériences. Mais comme vous le dites, on ne rencontre que peu (voire pas du tout !) de « seniors » en vadrouille longue durée… Votre nouveau périple en Nouvelle-Zélande et Australie sera aussi sur le site « topette » ? En tout cas, on vous souhaite bon voyage et on vous suivra avec attention !
      Amicalement,
      Sophie

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      1. Bonjour Sophie,
        merci d’être passée par chez nous et vous pourrez nous retrouver sur le même blog pour notre prochain voyage.
        N’hésitez pas à nous y laisser des commentaires et nous allons nous servir de votre expérience en Nouvelle Zélande pour peaufiner notre circuit. Nous avons déjà les billets d’avion (Zip World comme lors du TDM) et réservé un campervan pour toute la durée du voyage.
        Et nous sommes allés voir votre autre blog qui nous a convaincu de suivre votre exemple en vivant la plus grande partie de l’année en voyage dans le camping car. Il faut attendre que Georges soit à la retraite dans 3 ou 4 ans et nous garderons un petit pied à terre pour rentrer de temps en temps.
        Bonne journée et à bientôt.
        Martine

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