Après 100 jours au Brésil et en Argentine, nous avons choisi de rentrer en Europe à bord du MSC Seaview qui effectue un repositionnement vers la Méditerranée pour sa saison estivale. Il s’agit donc pour nous plus d’un moyen de transport que d’une véritable croisière…
Du lundi 13 au mercredi 29 mars
En début de matinée nous partons de l’hôtel Vila Galé en taxi pour nous rendre à la gare maritime. Cette ultime traversée de Rio nous donne ainsi l’occasion de repasser dans de nombreuses ruelles du Centro, le GPS de notre chauffeur ayant décidé d’expérimenter un itinéraire bis évitant toute les grandes artères ! Dans la foulée, MSC n’ayant pas correctement localisé le lieu exact où déposer les bagages, nous prenons une dernière transpirée brésilienne en tirant nos gros sacs sur quelques centaines de mètres – heureusement, ça roule bien, il n’y a pas de pavés ! Une fois les bagages enregistrés, il nous reste à retourner vers le hall d’embarquement qui, évidemment, ne se situe pas au même endroit – et hop, on repart en arrière, mais cette fois, on est largement allégés ! Les formalités sont rapides – même si à trois reprises on nous réclame le test négatif du Covid, véritable sésame pour récupérer enfin la carte de notre cabine. Quelques pas plus loin, nous rejoignons le quai et nous retrouvons face au monstre – oups, je voulais dire face au MSC Seaview ! Il faut dire que ce bateau est impressionnant, tant par sa taille que par son architecture extérieure légèrement difforme et peu esthétique quand on le regarde depuis l’arrière. (pour ceux qui ne seraient pas intéressés par le bateau et la vie à bord, le détail en images de nos escales se trouve en milieu de page)


Dans les entrailles du Seaview…
Heureusement, une fois à l’intérieur, cette impression de gigantisme se dissipe… pour peu que l’on parvienne à ne pas se perdre dans les différents espaces et les multiples bars et salons du navire !



















Avant de pouvoir récupérer notre cabine – ce n’est possible qu’à partir de 14h – nous commençons à explorer les différents ponts, puis nous déjeunons au buffet, le restaurant n’étant jamais ouvert le midi le jour du départ.





Bye-bye Rio…
A 18h tapantes, le navire appareille sous un ciel malheureusement très gris. Peu à peu,les lumières de Rio s’estompent, rapidement remplacées par le bleu vif des néons de l’atrium. Surprenant, voire même perturbant pour nous qui ne goûtons guère ces profusions de strass !





Et c’est parti pour 16 nuits de voyage, ponctuées de quelques escales au Brésil et en Espagne… Étant curieux de découvrir l’envers du décor d’un tel paquebot, et d’en savoir plus sur son fonctionnement, que ce soit au niveau des passagers que du personnel – qui, comme sur l’Armonia, est charmant et très compétent – nous sollicitons une interview auprès du responsable des relations publiques. Malheureusement, nous recevons une fin de non-recevoir, la politique de MSC étant de ne rien communiquer sur aucuns sujets, même les plus basiques… Bref, la croisière s’amuse… mais ne se mouille pas ! Déjà, lors de la réservation de nos deux transatlantiques en aout dernier, nous avions interrogé à maintes reprises le service client et l’espace média afin de solutionner quelques interrogations d’ordre pratique : demeurés muets jusqu’alors, nous avons enfin obtenu une réponse très incomplète et en partie erronée trois jours avant de quitter Rio !





Train-train quotidien…
Les jours se succèdent aux autres sans que l’on voie vraiment le temps passer entre entrainements physiques à la salle de sports, marche sur le pont, natation dans la piscine du pont supérieur, trempette dans les jacuzzis, cours de danse et lecture sur le balcon de la cabine. Finalement, même si nous regrettons toujours un peu de ne pas avoir pu réserver sur le MSC Armonia comme à l’aller (voir notre article En route pour le Brésil, à bord du MSC Armonia), nous nous acclimatons au bateau bien plus vite que nous ne l’imaginions !




En plus, nous sympathisons avec plusieurs couples de Français et de Belges, c’est ainsi l’occasion de partager un apéro, et de discuter de nos voyages passés et futurs. Ensemble, nous participons même à un quizz géant et remportons brillamment la seconde place : et hop, une bouteille de Prosecco gagnée !



Grosses tentations gastronomiques !
Les repas restent également un excellent moment qui rythment agréablement la journée. En général, nous les prenons tous au restaurant où les plats sont plus fins et mieux calibrés pour éviter toute prise de poids superflue ! En effet, le buffet est bien appétissant, mais on a toujours tendance à trop remplir son assiette… Alors, quand on est gourmand, c’est l’espace à éviter – ce qui n’est guère facile vu qu’il est ouvert sans discontinuer de 6h30 à minuit !



































Terre en vue !
Côté escales, le bateau s’arrête trois fois au Brésil, à Ilheus, Salvador et Fortaleza. Étant dans le pays depuis début décembre et connaissant certaines de ces étapes, nous zappons la visite et préférons profiter des ponts déserts…







Quelques degrés sous l’équateur, nous laissons derrière nous les côtes brésiliennes pour entamer la traversée de l’Atlantique, un voyage de six jours entiers sans poser le pied sur la terre ferme.







La folie de Neptune !
Comme à chaque traversée, le passage de l’équateur donne lieu à une grande fête sur le pont supérieur du bateau pour célébrer l’évènement où le dieu Neptune arrose d’abord copieusement les participants avant d’ordonner qu’ils soient aspergés de farine, tomates, chocolat en poudre, œufs et yaourts. Une coutume assez surprenante qui se termine par un plongeon collectif dans la piscine… Du haut de notre pont 18 où nous observons la scène au sec, je dois avouer que ce rituel nous laisse un peu dubitatifs !







Beau passage vers le Cap Vert…
Deux jours avant d’atteindre les iles Canaries, le bateau traverse l’archipel du Cap Vert : un paysage magnifique mais qui semble toutefois assez désolé, dépouillé et pelé… Dommage que le Seaview n’y fasse pas un arrêt, ça aurait été intéressant de découvrir ces iles trop souvent oubliées.










Agréable escale à Ténérife !
Samedi 25 mars, après quasiment douze jours sans être descendus du bateau – 283 heures pour être précis ! – nous sommes les premiers à débarquer à Santa Cruz de Ténérife, capitale de la plus grande ile des Canaries. A 7h du matin, le jour pointe à peine, et nous ne sommes pas nombreux à remonter d’un bon pas le quai où sont amarrés les paquebots de croisière. Cela ne nous dérange aucunement – au contraire ! – et nous commençons par une promenade tranquille dans la petite ville encore endormie. Nos pas nous mènent de la Plaza de España au Parque Garcia Sanabria, puis nous redescendons vers le Mercado Nuestra Señora de África où nous prenons un café.







Nous poursuivons jusqu’à l’Auditorio de Tenerife Adán Martín conçu par Santiago Calatrava Valls : une véritable merveille architecturale ! Inauguré en 2003, c’est désormais l’un des symboles des iles Canaries, et un emblème de l’architecture contemporaine espagnole.


D’ailleurs, on ne se lasse pas d’examiner le bâtiment sous tous les angles, et nous sommes très impressionnés par le grand arc soutenu par seulement deux points d’appui, alors que sa pointe est suspendue dans les airs ! Une prouesse inouïe au niveau de la conception, ce qui ne nous étonne guère de cet architecte très audacieux dont nous avions déjà admiré les réalisations à Valencia, New York et récemment à Rio au Museu do Amanhã.




Juste devant l’auditorium, on est surpris par l’originalité des pierres qui enrochent le front de mer, dont certaines sont peintes à l’effigie des grands musiciens ou chanteurs d’hier et d’aujourd’hui… Une belle initiative !




Trois pas plus loin, le château de San Juan Bautista, ancienne forteresse militaire datant du milieu du XVe siècle, semble bien petit…


Juste à côté, le Parque Maritmo César Manrique complète agréablement le tableau, avec son immense piscine paysagée… Décidément, même s’il est bordé de buildings peu esthétiques, ce quartier de bord de mer est bien agréable !


Dernière étape de la matinée, nous visitons le Palmetum, un jardin botanique de douze hectares dédié aux palmiers du monde entier. Ouvert au public en 2014, il est installé sur une sorte de tertre qui autrefois abritait une décharge municipale, fermée depuis 1983 : un remarquable exemple de reconversion de l’espace !









Même si le jardin n’est pas immense, il est très soigné et le cheminement est bien pensé. Pendant plus d’une heure, on déambule ainsi au milieu de 600 espèces de palmiers et plus de 3000 autres plantes.









Divers espaces recréant certains écosystèmes de la planète ponctuent le parcours, et nous passons ainsi de la Nouvelle Calédonie à l’Afrique en quelques minutes !
















Vers 11h30, nous prenons le chemin du retour vers le port que l’on rejoint à pied en une trentaine de minutes. Cette escale, bien que trop courte – mais c’est souvent l’apanage des croisières de repositionnement – nous a enchantés et surtout, elle nous a fait entrevoir le potentiel touristique de la ville.


A 13h30, après avoir rapidement déjeuné au buffet, nous sommes sur le pont pour assister à l’appareillage du navire…


En voyant les côtes s’éloigner, nous avons beau scruter l’horizon, mais nous n’apercevons pas le fameux Teide, stratovolcan qui culmine à 3715m d’altitude, ce qui en fait le sommet le plus élevé d’Espagne. Dommage, ce sera pour une prochaine fois – et oui, une de plus ! – car ne connaissant pas les Canaries, il nous semble qu’une visite plus approfondie serait bienvenue, les randos et découvertes naturelles étant nombreuses dans l’archipel…

Dans le détroit de Gibraltar…
Trente-six heures après avoir quitté Ténérife, les côtes marocaines sont en vue ! Lentement, le bateau s’engage dans le détroit de Gibraltar. Réputé pour ses forts courants et ses eaux parfois agitées, la navigation se fait sur une mer presque d’huile. Malgré une petite brume, on distingue bien le célèbre rocher qui se dresse 426m au-dessus des flots. Dommage que l’on soit trop loin pour apercevoir les seuls singes sauvages d’Europe – une colonie d’environ 250 macaques berbères qui font la fierté de la petite enclave britannique !



Révolte chez les passagers !
Lundi 27 mars, alors que nous devions arriver à Malaga à 13h30 – initialement, l’escale était prévue de 9h à 20h mais elle a été revue à la baisse en début de croisière – un message vocal nous indique, qu’en raison de problèmes techniques – nous n’arriverons qu’aux environs de 17h pour repartir à minuit ! Rapidement, un grondement se fait entendre du côté de l’atrium où des passagers manifestent leur mécontentement car les excursions sont annulées, et à cette heure tardive, aucune visite ne sera possible en ville… Il faut dire que depuis notre départ de Rio, la plupart des escales ont été soit tronquées – une matinée à Salvador au lieu de la journée, idem à Ténérife – soit tout bonnement remplacées ou carrément supprimées – aux Canaries, notamment. Résultat, des voix s’élèvent et quelques cris fusent, malgré l’annonce faite d’offrir un crédit de 100$ à chaque cabine. De notre côté, nous ne sommes pas surpris car les croisières de repositionnement, souvent très bon marché, minimisent un maximum leurs coûts en réduisant le temps passé au port… Quoiqu’il en soit, l’équipage est un peu sur les dents, entre la grogne ambiante, le problème technique dont on ne connait pas la nature et la suie noire qui depuis quelques jours recouvre régulièrement le pont supérieur, la piscine et les jacuzzis, preuve que les filtres sont encrassés et que le moteur ne tourne pas rond. En ce lundi après-midi, la croisière ne s’amuse plus… elle déchante !
Bain de culture à Malaga !
C’est finalement à 16h45 que nous débarquons dans le port espagnol. Pour une fois, nous ne sommes pas les premiers à poser le pied à terre, mais nous restons tout de même étonnés par la fluidité avec laquelle les passagers quittent le bateau. Il n’y a quasiment aucune attente : une mécanique de sortie bien huilée ! Comme nous avons déjà visité Malaga à plusieurs reprises – voir nos photos et infos pratiques et culturelles dans l’article publié sur la transatlantique Venise / Salvador en novembre dernier– nous avons uniquement prévu de découvrir le Centre Pompidou Malaga que nous ne connaissons pas.


A côté de toiles assez classiques signées Georges Braque, Fernand Léger ou Henri Matisse, nous sommes confrontés à des œuvres audacieuses et originales, comme celles par exemple Patrick Jouin ou encore Ernesto Neto. Intéressant !















Avant de remonter sur le bateau, nous flânons un peu sur le quai, et faisons un peu de lèche-vitrine…



Il ne nous reste qu’une journée de navigation avant de débarquer définitivement à Barcelone mercredi et, contre toute attente, nous n’avons pas vu le temps filer ! Nous bouclons ainsi notre troisième transatlantique, après celle effectuée en septembre 2019 de Southampton à New York à bord du Queen Mary de la Cunard et celle, plus récente, qui nous a permis de rejoindre le Brésil avec le MSC Armonia en novembre 2022. Pour ceux qui boudent l’avion, ces croisières sont un bon compromis pour traverser les océans, qu’il s’agissent d’un repositionnement ou d’un liner à l’ancienne !
Si notre croisière transatlantique s’achève ici, mais il nous faut encore rejoindre Trieste où nous avons hiverné notre camping-car. Petit parcours du combattant en perspective ! En effet, depuis le port de Barcelone, un taxi nous emmène à la gare routière Nord où après une attente de dix heures – oui, vous avez bien lu, et pourtant nous sommes sortis quasiment les derniers du Seaview ! – un Flixbus nous embarque pour dix-sept heures d’un voyage long et monotone à destination de Venise, trajet ponctué d’une seule pause de quinze minutes. Un peu court ! Heureusement, Gérard avait anticipé en achetant de quoi manger pour le petit-déjeuner et le déjeuner… Autre micro-pause à Milan, quand on nous demande de changer de bus pour être illico enfournés dans un autre véhicule sans même avoir le temps de se dégourdir les jambes quelques secondes ! Heureusement, les deux dernières heures du voyage se déroulent sans accroc, dans le confort d’un train intercité entre Venise et Trieste. Ainsi la boucle est bouclée, et comme à l’aller, c’est chez ma fille que nous passons la soirée et la nuit, avant de récupérer, vendredi matin, notre chère maison à roulettes !
Comme les prochaines semaines seront consacrées à régler quelques problèmes familiaux urgents, il n’y aura pas de nouvel article avant quelque temps. Néanmoins, dès que l’occasion se présentera, je posterai photos et infos sur notre page Facebook ainsi que dans la rubrique « Dernières nouvelles » du blog !
- INFOS PRATIQUES
- Croisière de repositionnement MSC Amérique du Sud / Europe, à bord du Seaview, de Rio (Brésil) à Barcelone (Espagne), du 13 au 29 mars 2023. Tarif à partir de 750€ par personne, en cabine intérieure, pension complète, hors frais de service (12.50$ par nuit et par personne, à régler obligatoirement soit en fin de croisière, soit lors de l’achat de la croisière) et hors boissons (forfaits possibles à acheter avant la croisière ; sans forfait, les consommations sont débitées directement sur la carte de croisière, environ 30$ une bouteille de vin avec les taxes, entre 7$ et 9$ le cocktail ou le verre de vin). Bon à savoir : au buffet, eau froide / chaude / glaçons disponible gratuitement ainsi que thé et tisane. Animations et activités sportives proposées toute la journée, salle de gym, piscine extérieure, casino, théâtre. Forfait blanchisserie acheté sur place, 45$ les 20 pièces / 64$ les 40 pièces (à donner en une seule fois, retour rapide du linge), possibilité d’acheter le forfait en ligne avant le départ, meilleur marché. Wifi possible, forfait internet et réseau sociaux environ 85€ pour les 15 jours, forfait streaming environ 160€ (si acheté à bord, 10€/15€ par jour selon l’option choisie si on prend le forfait pour toute la croisière, sinon 15€/30€ les 24h) ; connexion globalement très correcte. Dans le sens Amérique / Europe, les prix sont annoncés en US dollars (et en euros dans l’autre sens). Aux escales, possibilité de réserver une excursion (nous n’avons pas testé car à Ténérife, le bateau est amarré à une vingtaine de minutes à pied du centre-ville, taxis possibles). Quand le bateau est peu rempli – ce qui est souvent le cas pour les croisières de repositionnement – possibilité de surclassement.
MERCI POUR CES PARTAGES ET SURTOUT NE VOUS PRESSEZ PAS DE RENTRER EN FRANCE🤔 JE N’EN ECRIT PAS PLUS 😫 VOUS AVEZ CHOISI LE BON COTÉ POUR LA RETRAITE AMITIÉS ET BONNE CONTINUATION
JQ BIKER 83
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Merci pour votre message ! Malheureusement, nous avons dû rentrer en France assez rapidement pour régler d’épineux problèmes familiaux, et il est vrai que nous avons été rapidement plongés dans une ambiance bien morose… On espère repartir rapidement sur les routes d’Europe car, comme vous le dites, nous avons choisi le bon côté de la retraite où nous avons opté un mode de vie très actif mais aussi assez simple (en Europe, nous vivons en camping-car)… Amitiés
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Très agréable compte rendu ; merci pour ce retour d’expérience et ces photos très réussies.
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Merci beaucoup pour votre message qui nous va droit au cœur !
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Salut la TCP (Team Caleçon Polaire), ou TSM (Team Slip Moumoute),
On ne sait plus trop comment vous appeler avec vos changements incessants !!!
On vous souhaite une bonne réacclimatation au luxe douillet de votre maison à roulettes et à une alimentation saine et équilibrée après avoir visiblement bâffré pendant quinze jours…
On espère que vos soucis seront vite et bien réglés et que vous nous enchanterez encore avec de nouvelles aventures.
Au plaisir de prendre un apéro prochainement (le dry january, le dry february et le dry march étant finis, nous n’envisageons pas de nouveaux dry mois prochainement !).
Bises,
La team Topette !
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Bonjour Sophie et Gérard,
Encore une boucle bouclée. Bravo et un grand merci du partage. Bonne ré-aclimatation européenne et j’espère vos soucis vite arrangés.
Pour ma part je quitte le Maroc ce dimanche 9 avril pour quelques jours en Andalousie et retour dans ma famille, au pays Basque, par le Portugal et la Côte Nord espagnole. Traversée d’ouest en est de la France vers la Suisse.
Queĺle belle aventure vécue ces 4 derniers mois (humaine) en particulier, à jamais gravée dans mon cœur ❤️ ❤️ ❤️
À bientôt, j’espère, en Suisse.
Mille bisous. Dominique
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Hello Dominique ! La ré-acclimatation européenne se fait à petite vitesse, avec un changement thermique drastique, puisque l’on a perdu 30° entre Rio et Trieste (où nous sommes actuellement) !!! Magnifique, ton voyage au Maroc, je vais allez voir ta page FB de plus près, maintenant que j’ai une connexion internet un peu meilleure, et comme tu le dis, quelle belle aventure humaine et quelles belles rencontres tu as fait ! Bon retour en Espagne, France et Suisse, ça va encore être un beau périple ! Et à bientôt j’espère sur les routes ou dans le Valais en septembre, ça dépendra de nos impératifs familiaux (soucis à régler en perspective…). Prends bien soin de toi ! Gros bisous
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Bonjour Sophie, bonjour Gérard. Vous êtes décidément infatigables. Que de km et miles parcourus, merci de nous en faire profiter avec des commentaires toujours si précis et amusants souvent. Superbes photos qui nous font voyager avec vous.
On vous embrasse. Martine et pierre
Envoyé de mon iPad
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Hello tous les deux ! Merci pour votre message ! Eh oui, nous avons parcouru beaucoup de kilomètres, que ce soit sur mer (très agréable !) ou en bus sur terre (nettement moins reposant !!!). Nous sommes actuellement à Trieste où nous avons récupéré notre camping-car, et nous serons prochainement en France… A bientôt j’espère (ce serait bien que l’on arrive à se croiser !), bises à tous les deux
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