Après un séjour de cinq semaines à Trieste, nous avons remisé notre cher camping-car et, c’est sacs à roulettes en main que nous prenons le train en direction de Venise, première étape de notre voyage hivernal qui doit nous conduire jusqu’au Brésil… Une étape de 17 nuits – dont 3 avec nos filles venues nous rejoindre – la durée idéale pour arpenter ce double labyrinthe de terre et d’eau qui compose la ville. Sitôt débarqués à la gare, nous filons au comptoir Venezia Unica pour récupérer cartes de vaporetto de l’ACTV et City Pass All Venice, deux sésames indispensables pour profiter au mieux de la Sérénissime ! Au programme de ce premier week-end passé avec nos filles : balades à pied dans les différents quartiers de la ville, dégustation de bons produits locaux et découverte des iles, notamment Burano qui nous a enchantés par ses maisons aux façades colorées… Un excellent moment, d’autant que la météo a été très clémente avec nous !
Une fois les filles reparties, nous nous installons pour deux semaines dans un petit appartement de Castello, un quartier situé à quelques minutes de vaporetto de San Marco. Comme ce n’est pas la première fois que nous séjournons à Venise, nous décidons, cette fois, de marcher dans les pas de Corto Maltese, dont l’auteur Hugo Pratt, originaire de la ville, a concocté un guide avec ses itinéraires préférés mettant particulièrement en valeur ruelles, placettes et détails architecturaux peu connus.
Les visites étant denses et variées, nous avons prévu de publier quatre articles sur Venise, ce premier post consacré à San Marco et au Grand Canal étant le plus fourni ! Bonne lecture !

Du jeudi 03 au dimanche 20 novembre
Nous commençons cette redécouverte de Venise par le sestiere – autrement dit « quartier », en vénitien – de San Marco, le plus célèbre de la ville, point de rencontre des voyageurs du monde entier. A juste raison, Hugo Pratt a d’ailleurs intitulé cette balade la « Porte de l’Or » tant les lieux sont éblouissants ! Nous avons ainsi passé presque trois jours à explorer les lieux, d’où les différences notables quant à la couleur du ciel…

Petit rappel historique…
Venise aurait été fondée en 421 par les populations de Vénétie qui, fuyant les pillages des Goths, auraient trouvé refuge dans les iles sauvages et inhabitées de la côte marécageuse. La jeune cité se développa rapidement et des liens commerciaux furent tissés avec Byzance. Au Moyen-Age, la puissance de Venise s’étendit sur une grande partie de la Méditerranée, culminant avec la prise de Constantinople en 1204. Au fil des siècles, la ville-Etat colonisa de nombreux territoires, ce qui, de fait, l’entraina dans d’innombrables et interminables guerres. Dès lors, le déclin militaire et politique de Venise s’amorça, et au XVIIIe siècle, sa puissance anéantie, la ville devint synonyme de décadence, l’aristocratie dilapidant son patrimoine en fêtes et jeux de hasard. Tout s’écroula en 1797 quand Napoléon assiégea la ville et exigea l’abdication du doge, avant de céder les lieux à ses alliés les Autrichiens…


La Place Saint Marc
Symbole même de Venise, la place Saint Marc fut longtemps le cœur battant de la ville, d’où rayonnèrent la richesse, le commerce et le pouvoir. Étant situé au niveau le plus bas de Venise, c’est le premier lieu à être inondé lors de l’acqua alta, et des estrades sont installées pour permettre aux piétons de marcher au sec. Considérée par beaucoup comme l’une des plus belles places du monde, nous la trouvons pourtant un peu vaste à nos yeux – 180 mètres de long pour 70 mètres de large – et il est difficile d’en avoir une vue dégagée tant elle est encombrée de stands de marchands de souvenirs et de groupes de touristes. Bref, on l’aura compris, l’unique piazza de Venise n’est pas notre lieu de prédilection et nous lui préférons amplement les autres piazzales ou campos ! Néanmoins, c’est un passage obligé pour visiter les monuments qui la bordent…




Mais ce que l’on apprécie surtout, c’est observer les mille détails de cette place, comme par exemple les bas-reliefs des murs du Palais des Doges, les statues qui ornent le bâtiment proche du campanile et les bronzes de la Tour de l’Horloge, ou encore les deux colonnes de Saint Marc et de Saint Théodore où le lion – emblème de la ville – est omniprésent…


















La Basilique Saint Marc
Les longues queues pour visiter la basilique étant connues, nous nous posons devant l’entrée à 8h30, soit une petite heure avant que les portes n’ouvrent ! Bonne initiative – qui fera encore sourire ma mère ! – qui nous permet d’observer les multiples détails de la façade…

















A 9h30, nous sommes donc les premiers à pénétrer dans cette splendide église dont l’édification fut entreprise en 828 pour abriter le corps de Saint-Marc, ramené d’Alexandrie. Reconstruite après l’incendie qui ravagea le Palais des Doges en 976 , la basilique actuelle, bâtie en forme de croix grecque, comporte cinq dômes et est devenue la cathédrale de la ville en 1807.











L’intérieur de la basilique est époustouflant ! Les mosaïques sur fond d’or ont d’ailleurs valu à l’église le surnom de basilique d’Or. Si les premiers travaux ont eu lieu dans les années 1071-1084, la plupart des mosaïques ont cependant été réalisées au cours du XIIIe siècle.








Très impressionnant, le Palais d’Or est un retable doré, pièce d’orfèvrerie exceptionnelle de style vénéto-gothique et exemple majeur d’émaux byzantins contenant également 1927 pierres précieuses !






Au premier étage de la Basilique, le musée expose aussi de superbes mosaïques ainsi que des tapisseries anciennes et de vieux manuscrits enluminés.










La visite s’achève avec les quatre chevaux de cuivre doré, rapportés de Constantinople après le sac de la ville en 1204. En 1797, les chevaux furent transportés à Paris par les troupes de Bonaparte : placés sur l’arc de triomphe du Carrousel jusqu’en 1815, ils furent ensuite rendus à la Cité des Doges par l’intermédiaire des Autrichiens.

Le Palais des Doges
Nous poursuivons la découverte des incontournables de la Place Saint Marc par la visite du Palais des Doges. Alors que le palais initial, édifié au IXe siècle, était une forteresse et une prison, au fil des reconstructions – liées aux nombreux incendies – l’actuel bâtiment érigé aux XIVe et XVe siècles, aux murs de marbre rose alliant styles gothique et Renaissance, est devenu un symbole d’élégance.



Ce palais fut la résidence officielle des doges de la République de Venise, ainsi que le lieu de représentation de ses institutions majeures. Et c’est entre ces murs que durant presque mille ans, cent-vingt doges ont pris en main le destin de Venise.



Jusqu’en 1797, c’est dans ces immenses salles aux murs et plafonds peints – Véronèse, le Titien et le Tintoret en sont les principaux artistes – que les pouvoirs législatif, exécutif et judiciaire y furent centralisés entre les mains du doge élu et des sénateurs.






La grande salle du Scrutin accueille actuellement une expo d’Anselm Kiefer, spécialement conçue pour le Palais des Doges. Une œuvre assez noire mais néanmoins optimiste, que l’artiste a intitulé de la citation du philosophe vénitien Andrea Emo (1901-1983) : Ces écritures, quand elles brûleront, apporteront finalement un peu de lumière, sous-entendant que toute création est éphémère et disparaît dans l’épaisseur du temps pour laisser d’autres briller en surface… (source actu-culture.com)





Jusqu’au XVIe siècle, le palais abritait également les prisons de Venise, situées sous les toits et accessibles par le fameux Pont des Soupirs. Surnommées les plombs en raison du toit fait de plaques de plomb, en été ces geôles se transformaient en véritables étuves, affichant une température parfois supérieure à 50°C, tandis qu’en hiver, on y grelottait. Le plus célèbre occupant des lieux fut incontestablement Giacomi Casanova ; ce fut aussi le seul et unique prisonnier à parvenir à s’échapper de son cachot, le 1er novembre 1756 !


Musée Correr, Musée Archéologique & Bibliothèque Nationale Marciana
Installé dans une aile des Procuraties – ces bâtiments administratifs austères qui bordent la Place Saint Marc – le musée Correr abrite œuvres d’art, documents et objets témoignant de l’histoire et de la vie quotidienne de Venise à travers les siècles. La visite est intéressante, surtout pour qui souhaite approfondir ses connaissances sur la Sérénissime !








Dans le même bâtiment, et quasiment sans transition, on découvre ensuite le musée archéologique qui expose une riche collection de bustes grecs et romains, ainsi que de beaux bas-reliefs.






Enfin, au bout du bâtiment, on découvre l’imposante salle de la Bibliothèque Nationale Marciana, vide de tout livres mais habillée par l’expo du plasticien Erwin Wurm. Il faut toutefois noter que le fond bibliothécaire contient tout de même un million de livres, 13.000 manuscrits et plus de 2.800 incunables – manuscrits imprimés en Europe avant 1501. Impressionnant !

Trésors cachés du quartier San Marco
Comme il nous a déjà fallu une bonne journée pour découvrir les trésors de la Place Saint Marc, c’est de bonne heure le lendemain que nous partons arpenter ce quartier dense, aux ruelles étroites et aux multiples canaux. Même avec le plan fourni par le guide d’Hugo Pratt, on peine un peu à trouver notre chemin ! La balade du jour commence donc devant l’église San Zaccaria, datant du XVe siècle et affichant un mélange de styles gothique et Renaissance typiques à Venise. L’itinéraire nous fait traverser de minuscules cours et c’est un peu un jeu de piste que de débusquer puits – la passion de Gérard, il les prend tous en photos ! – patères et autres décorations de murs, comme ce dragon aperçu Corte del Rosario !







Quelques pas plus loin, on passe devant l’arrière du Pont des Soupirs mais ici, point de touristes s’entassant pour faire un selfie !

Nous faisons un arrêt prolongé devant le rio Orseolo qui sert de port aux gondoles : le matin, l’enchevêtrement des embarcations est impressionnante à découvrir, tout comme les manœuvres des gondoliers pour sortir de là. Eh oui, effectuer un créneau avec une gondole, a priori, ça demande du métier ! D’ailleurs, si vous vous demandez comment ce type d’embarcation se conduit avec une seule rame sans tourner en rond, la réponse est simple : les gondoles ont une forme asymétrique, avec 24cm de plus à bâbord, ce qui leur permet de naviguer droit ! Devant un tel « paquet » de gondoles, on ne se lasse pas d’admirer les détails soignés de leurs ornements : si chevaux et anges sont fréquents, on remarque ici la reproduction d’une scène de 1204, où le vieux doge Dandolo supervisa le sac de Constantinople…







Nos pas nous mènent ensuite vers le palais Contarini, connu pour son somptueux escalier en colimaçon del Bavolo – style Renaissance fin XVe siècle – au pied duquel un petit jardin renferme margelles de puits et éléments architecturaux.



Le musée Fortuny
Nous arrivons ensuite au Palazzo Fortuny, datant du XVe siècle, qui, bien qu’étant un des plus grands palais de Venise, ne possède aucune ouverture sur le Grand Canal. Divisé en appartements au XIXe siècle, le bâtiment abrita jusqu’à trois cent cinquante personnes de condition modeste. Il était en piètre état quand, en 1898, Mariano Fortuny loua au dernier étage une immense salle dont la lumière l’avait séduit.




Au fur et à mesure des départs de leurs occupants, il acquit les autres étages, et avec sa femme, Henriette Negrin, ils y installèrent leurs ateliers d’artistes – tissus, teintures, photographie, peinture, architecture, couture – puis en firent leur demeure et consacrèrent une partie de leurs ressources à la restauration de tout l’édifice. (source Wikipedia)






Le palais fut donné à la ville de Venise, qui en prit pleine possession en 1965 à la mort d’Henriette Negrin, pour en faire un musée. Musée qui fut d’ailleurs l’un de nos gros coups de cœur de ce séjour vénitien, tant on a aimé pénétrer dans l’univers à la fois intimiste et original de ce couple d’artistes hors du commun !




Entre églises, placettes et boutiques aux vitrines colorées !
En quittant ce superbe musée, nous faisons un crochet pour jeter un œil à la rue des Assassins, autrefois connue pour être un coupe-gorge. Curieux hasard, c’est aussi cette rue que les SS choisirent pour y installer leur bureau pendant l’occupation allemande…

Heureusement, non loin de là nous attendent de petites places plus riantes, et des rues animées, où il est agréable de faire du lèche-vitrine ! On note d’ailleurs la grande diversité d’artisanat proposé, de qualité, loin du made in China de certaines échoppes…













Nous nous dirigeons ensuite vers le campo San Stefano où eut lieu la dernière course de taureaux de la ville, en 1802. Dans l’église du même nom, on remarque le beau plafond en forme de carène de bateau, ainsi qu’une Cène du Tintoret.



Trois ponts plus loin – oui, ici, on compte beaucoup en nombre de ponts à franchir ! – nous parvenons à la belle église Santa Maria del Giglio, dont la façade, baroque à souhait, affiche plusieurs reliefs originaux – notamment les représentations de différentes villes de Méditerranée, comme Corfou ou Candia, l’actuelle Héraklion.










Sous les ors du théâtre de la Fenice…
Allez, encore un petit effort, et nous atteignons le canal bordant le Théâtre de la Fenice. Il faut croire qu’il porte bien son nom, car cela fait déjà deux fois que ce Phénix renait de ses cendres… Inauguré en 1792, le théâtre brûle une première fois en 1836. Reconstruit à l’identique, il ouvre ses portes fin 1837. Après-guerre, La Fenice occupe une place prépondérante dans l’opéra italien et accueille notamment les œuvres modernes de Stravinsky, Britten et Prokofiev. Nouveau coup dur le 29 janvier 1996, alors que le théâtre est l’une des références mondiales de l’art lyrique, il est à nouveau détruit par un incendie criminel causé par deux électriciens d’une entreprise de maintenance, soupçonnés d’avoir mis le feu au théâtre pour éviter de payer des pénalités pour retard de travaux. Une fois de plus, il est reconstruit, puis inauguré le 12 novembre 2003 avec La Traviata de Giuseppe Verdi.











Cette promenade au cœur de San Marco s’achève, et il ne nous reste qu’à retourner à notre point de départ, à Riva del Schiavoni, où quelques gondoles attendent paresseusement les amateurs… Pour nous, la journée a été riche en découverte, et c’est à bord d’un vaporetto que nous regagnons notre studio !


Le long du Grand Canal de jour comme de nuit !
On pourra dire qu’on l’a remonté et descendu à de multiples reprises, ce fabuleux Grand Canal ! L’idéal, pour découvrir à petite vitesse tous les palais qui le bordent, est de monter à bord d’un vaporetto de la ligne 1 et de se laisser tranquillement voguer… Dans son entier, c’est-à-dire de San Zaccaria à la gare ferroviaire, il faut compter une heure de trajet. Mais souvent, nous avons utilisé la ligne pour de courtes étapes, un moyen très efficace de gagner quelques pas : en effet, comme il n’y a que trois ponts sur cette portion – souvent très encombrés comme le Rialto – traverser le canal d’un coup de bus maritime s’avère bien pratique.









Autre possibilité pour éviter les ponts, le traghetto qui embarque un maximum de 14 passagers à bord d’une longue gondole : autrefois, on devait impérativement rester debout, en équilibre instable, mais il semble que les habitudes aient changé car on a vu beaucoup de personnes assises !

D’un point de vue géographique, le Grand Canal affiche une longueur de 3.8 km pour 50 à 70m de largeur et 5 à 10m de profondeur. Et comme la vitesse est limitée à 7km/h, on a amplement le temps d’observer tous les petits détails des façades et des ponts !















Et pour conclure cet article déjà bien long, on vous embarque pour un ultime tour de nuit en images, avec en prime, une réinterprétation artistique et personnelle des lieux…















Nous publierons prochainement trois nouveaux articles consacrés aux autres quartiers de Venise ainsi qu’aux iles de la lagune…
- INFOS PRATIQUES
- Nous avons eu deux hébergements, d’abord 3 nuits avec nos deux filles dans un grand appartement de San Polo, puis 14 nuits, dans un studio à Sant Elena, vers Castello.
- Ca’ Venissa, logement très confortable, spacieux (2 chambres, 2 salles de bains et un living avec cuisine) et très bien aménagé, belle déco, situé à quelques minutes à pied du Rialto, avec de nombreuses opportunités de restauration (à emporter ou à consommer sur place) dans les environs immédiats (on conseille le restaurant La Rivetta, juste au pied de l’immeuble). Environ 150€ la nuit, taxes de séjour à payer en sus (4€ par jour et par personne).
- Studio Airbnb ”Small apartment in a green area near Biennal”, situé à Sant Elena, à 150m de l’arrêt du vaporetto. Logement petit mais bien équipé, salle de bain, petite cuisine, lave-linge. On a beaucoup aimé le quartier, loin des zones touristiques fréquentées, et habité principalement par des Vénitiens ! Très bons contacts avec le propriétaire. Environ 65€ la nuit.
- Transports dans Venise et les iles de la lagune : Pass ACTV indispensable pour voyager sans restriction à bord de vaporetto, 65€ les 7 jours, 45€ les 3 jours, 35€ les 2 jours, 25€ les 24h et 9.50€ le billet unique valable 75mn. Réduction de 5€ par pass si on l’achète sur le site de Venezia Unica au moins 30 jours avant l’arrivée à Venise. Bon à savoir : une fois activé, le pass est valide par période de 24h. Merci à Marta de Venezia Uncia pour l’obtention de nos pass transport !
- Visites d’églises et de musées : on conseille d’opter pour la City Pass All Venice + Chorus église + Fenice, validité de 6 mois pour un passage dans chacun des 12 musées et des 16 églises. Accès au Palais de Doges seulement de 12h à 17h. 62.90€ & 38.40€ pour les +65 ans.
- Basilique Saint Marc, 9h30-17h15 sauf dimanche à partir de 14h, 3€ pour l’entrée à la basilique, 5€ pour le Palais d’Or et 7€ pour le musée et la loggia.
- Palais des Doges, 9h-18h, inclus dans pass
- Musée Correr, 10h-17h, inclus dans pass
- Musée archéologique, 10h-17h, inclus dans pass, même entrée que le musée Correr
- Libreria Marciana, 8h-19h sauf samedi après-midi et dimanche, inclus dans pass, même entrée que le musée Correr
- Eglises Santa Maria di Giglia et Santo Stefano, 10h30-13h30 & 14h30-17h30, inclus dans le pass
- Teatro la Fenice, 9h30-18h, en option avec le pass
- Musée Fortuny, 10h-17h sauf mardi, inclus dans pass
Hola, la team Vénitienne,
encore un beau reportage avec de magnifiques photos !
Celles prises sur le grand canal pendant l’heure d’or sont superbes.
Continuez comme ça jusqu’à votre prochain départ.
Et comme vous voyagez dans les pas d’une célébrité, si jamais vous croisez la route du commissaire Brunetti, passez-lui le bonjour (Donna Leon ayant migré vers des lieux plus tranquilles)….
Bises à vous deux
La team Topette !
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Ciao la Team mexicaine !
Malheureusement pas aperçu le célèbre commissaire dans les coursives de la Fenice, mais on ne désespère pas de croiser Donna Leon dans un coin perdu de Venise (même si elle vit plutôt dans les tranquilles montagnes suisses, il parait qu’elle passe par là une semaine par mois !).
Sinon, nous avons vu votre bel article sur Queretaro (souvenirs, souvenirs), pas encore eu le temps de mettre un message, ce dernier post sur San Marco m’a occupée quelques heures (connexion pourrie donc arrachage de cheveux pour passer les nombreuses photos de Gérard !)…
Profitez bien du Mexique, moi je me mets à la rédaction de l’article suivant !
Bises
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Bonjour à vous deux,
Merci de nous faire redécouvrir Venise, nous avions tellement aimé nous y promener et surtout de vivre le silence de la ville sans voitures et sans touristes une fois la nuit venue. Bravo au photographe pour ses photos de nuit et bonne poursuite de cet itinéraire qui semble jusqu’à présent des plus intéressants. Au plaisir de lire la suite.
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Incontestablement, Venise est une ville magnifique ! On se disait même que nous pourrions un jour y poser nos valises, en cas de sédentarisation, l’absence de voiture étant pour moi un énorme atout… Prochaine étape : le bateau qui doit nous conduire au Brésil !
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